lundi 30 août 2010

Achats de la rentrée!

Ayant bientôt fini mon stock de livres à lire, j'ai eu envie en fin de matinée d'aller faire quelques nouvelles acquisitions dans une librairie qui me réserve toujours de bonne surprise. J'étais partie pour prendre trois BDs (Succubes, Clues, Zombillénium) et un roman (Fondation et Empire d'Asimov). Au final, je m'en suis sortie avec deux BDs (dont une non prévue) et trois romans (dont celui que je cherchais.
Voici donc mes nouvelles acquisitions :


Zombillénium, t.1 Gretchen, d'Arthur de Pins aux éditions Dupuis:


Hier, je suis tombée sur la bande annonce de la sortie de cette BD (voir la bande annonce ici.).
Connaissant Arthur de Pins par le biais de ses albums Pêchés mignons et ses deux animations, j'ai trouvé cette bande annonce bien alléchante avec une histoire qui m'a semblé bien barrée et très amusante. Inutile de vous dire que je l'ai dévorer une fois rentrée, et que je vais sans aucun doute la relire dans la journée ^_^

Le Scorpion, t.9 Le Masque de la Vérité, de Desberg et Marini:


Ce tome est la bonne surprise de la rentrée! Après avoir acheté et lu toute la saga depuis la sortie du premier tome, je n'attendais pas le tome 9 avant 2011. Par ailleurs, bien que fan de cette série, j'avoue ne pas chercher à tout pris les dates des sorties des albums. Alors la surprise fut totale lorsque j'ai vu la couverture du tome 9 bien mise en avant dans la librairie. Il y existe une autre couverture qui correspond aux dix des éditions Dargaud (enfin je crois), mais, bien que belle, je me suis dit que j'allais prendre la couverture "normale" pour ne pas qu'elle dépareille avec le reste de la collection. Comme pour la BD d'Arthur de Pins, une fois rentrée, j'ai lu celle-ci d'une traite, et je la relirai sans doute dans la soirée ^_^

Fondation et Empire, Le cycle de Fondation, II, Isaac Asimov :


Ayant fini le premier tome hier, il était pour moi normal que j'aille acquérir le second tome pour connaître la suite des aventures de la Fondation.

L'homme qui voulait être heureux, Laurent Gounelle :

Bien en vue, juste à côté du livre de Jean d'Ormesson que j'avais envie de m'offrir depuis quelques temps, j'ai été séduite par la couverture, par le titre ainsi que par la 4ème de couverture. J'ai hâte de commencer à le lire ^_ ^

C'est une chose étrange à la fin que le monde, Jean d'Ormesson :



Depuis quelques temps, je souhaitais acquérir cet ouvrage. Sans lire la 4ème de couverture, je l'ai pris. J'ai envie d'être surprise par ce livre et surtout de découvrir l'écriture d'un auteur dont j'ai beaucoup entendu parler et que j'ai entendu plusieurs fois s'exprimer lors d'émission de télévision. Comme le précédente, j'ai hâte de l'ouvrir et de m'y plonger dedans.


Et pour finir ce petit programme de lecture pour ces mois de septembre/octobre, j'ai emprunté à ma mère L'élégance du hérisson de Muriel Barbery. Après en avoir beaucoup entendu parler et vu qu'il y a eu une adaptation cinématographie, j'ai la curiosité de le lire.
Comme pour les deux précédents ouvrages, je suis curieuse d'ouvrir mes champs de lecture qui tourne pour le moment beaucoup autour de la Fantasy, du Fantastique et de la Science-Fiction.

Dans les jours qui viennent vont apparaître une petite dizaine de chroniques sur les ouvrages lus (certains sont des relectures) entre janvier 2010 et ce jour. Il y sera questions de romans, mais aussi de BDs et peut être de mangas.

Sur ce, bonne semaine à toutes et à tous.
Et bonne rentrée!

dimanche 29 août 2010

Le fantôme de la rue Royale, J-F. Parot


Le fantôme de la rue Royale de Jean-François Parot, éd. 10/18, coll. "Grands détectives", rééd. janvier 2008 (1ère éd. 2001), 347 pages.
Catégorie : Policier, Histoire, époque moderne.

4ème de couverture :
Les précédents succès de Nicolas Le Floch, protégé du lieutenant de police Sartine, agacent. On veut le mettre à l'écart. Mais, alors que Paris célèbre la mariage du dauphin par un feu d'artifice sur la place Louis-XV, c'est la catastrophe : des carrosses renversés, des centaines de victimes écrasées...Notre tout jeune commissaire de police au Châtelet reprend du service. Au milieu des cadavres, une jeune femme tient serrée dans sa main une perle noire. Est-elle morte étouffée...ou étranglée?

"Sur fond de reconstitution historique impeccable, et dans un style qui évoque sans la pasticher la littérature du XVIIIème siècle, Jean-François Parot multiplie les clins d'oeil à la situation contemporaine." Gérad Meudal, Le Monde.

Dans ce volume, j'ai retrouvé avec plaisir Nicolas Le Floch, Sartine et Bourdeau. Dans ce volume, le commissaire va être aux prises avec des forces occultes qui vont mettre à rude épreuve son esprit cartésien. En effet, la maison de la jeune fille retrouvée morte semble sous l'effet d'un mauvais génie dont les habitants supposent qu'il a été amené par Naganda, le garde du corps de la jeune demoiselle.

L'intrigue est toujours aussi prenante. Ici sont abordés les thèmes du commerce avec les colonies françaises de l'époque, mais aussi celle du racisme et de l'intolérance face aux personnes étrangères dont les us et coutumes ne sont pas comprises. Cependant, en dire plus dévoilerait l'intrigue.

Si vous avez aimé les premiers, vous apprécierez celui-ci.

samedi 28 août 2010

La petite Fadette, Georges Sand


La petite Fadette de Georges Sand, Ed. ProFrance avec l'autorisation des Editions Jean-Claude Lattès, coll. Classiques jeunesses, 1992, 1ère édition 1852, 380 pages.
Catégorie : classique, XIXème siècle, amour

4ème de couverture :
L'oeuvre romanesque de George Sand, s'étendant sur quarante-cinq ans, a été énorme. Un siècle après sa mort, elle reste une conteuse admirable. Ses romans qui sont passés à la postérité ce sont ceux qui parlent de son Berry, de la nature. La petite Fadette est l'une de ses incontestables réussites. La fiction poétique s'y mêle harmonieusement au pittoresque paysan, avec, dans l'étude des caractères, une grande finesse.

Ce livre m'a été offert quand j'avais une dizaine d'année. Je me souviens avoir commencé à le lire, mais n'adhérant pas l'histoire, j'ai fermé l'ouvrage au bout d'un quart de son volume.
Ce n'est qu'au début de juillet que j'ai eu envie d'entreprendre sa lecture complète.

La lecture est aisée, les personnages sont attachants notamment Fadette et Landry, les principaux protagonistes. Au sein de la campagne du Berry, dans un petit village, va naître une jolie histoire d'amour entre Landry, fils d'un fermier, et Fadette, considérée par tout le village comme une sorcière car, selon les habitants, sa grand-mère qui l'élève en est une. Cela ne les empêche pas d'aller la consulter de temps à autre lorsque quelqu'un est malade.

La rencontre de ces deux jeunes gens et l'évolution de leur relation en histoire d'amour secrète et impossible (jusqu'à un certain point) est décrite avec poésie et simplicité. Ne connaissant pas les écrits de Georges Sand, j'ai été agréablement surprise par sa manière d'écrire, très rafraichissante par rapport aux écrits très descriptifs (et parfois lourds) de certains de ces contemporains.

C'est une histoire douce, poétique sur les premiers émois de deux jeunes gens dans les campagnes françaises du XIXème où se mêlent préjugés, loyauté envers la famille et l'envie de faire son propre chemin.

vendredi 27 août 2010

De retour

Après plusieurs mois d'absence, je suis de retour sur le blog pour vous faire partager mes nombreuses lectures et mettre en ligne des chroniques prêtes depuis quelques temps.

L'été a été sous le signe des Policiers mais aussi de quelques relectures. Des chroniques bientôt!

Je vous souhaite à toutes et à tous une bonne rentrée, toujours sous le signe de la lecture!

dimanche 4 avril 2010

L'homme au ventre de plomb, de Jean-François Parot


L’homme au ventre de plomb de Jean-François Parot, éditions 10/18, collection « Grands détectives », rééd. sept. 2008 (1ère éd. mars 2001), 320 pages
Catégorie : Policier, Histoire, époque moderne.

4ème de couverture :
Fin de l’année 1761 : la guerre de Sept Ans prend une tournure de plus en plus désastreuse, l’expulsion des jésuites est en discussion et la marquise de Pompadour vit ses derniers temps de faveur. Nous retrouvons Nicolas Le Floch à la première des Paladins de Rameau à l’Opéra, à laquelle assiste Madame Adélaïde, une des filles de Louis XV.
Durant la représentation, le comte et la comtesse de Ruissec, qui accompagnait la princesse, sont informés du suicide de leur fils, et Nicolas suit son maître Sartine jusqu’à l’hôtel des malheureux parents, où il va faire de bien curieuses constatations.
Nicolas découvre bientôt que ces meurtres paraissent liés à un complot jésuite. Mais ne s’agit-il pas là de fausses apparences, d’une manipulation compliquée des divers partis qui s’affrontent secrètement à la Cour ?

« Les aventures de ce nouveau limier se distinguent par leurs qualités littéraires et la singularités du personnage et de son siècle. » Télé journal.


Comme pour le premier volume de cette série, j’ai adoré. L’écriture est toujours aussi dense, l’histoire palpitante et recelant de milles et un détails sur l’époque de Louis XV.
L’enquête nous emmène en partie dans l’univers de la cour de Versaille, avec ses faux semblants et ses complots.
Si vous avez aimé « L’égnime des Blancs-Manteaux », vous aimerez « L’homme au ventre de plomb ».
Bonne lecture.

jeudi 11 février 2010

L'égnime des Blancs-Manteaux, de Jean-François Parot


L’égnime des Blancs-Manteaux de Jean-François Parot, éditions 10/18, collection « Grands détectives », rééd. juin 2008 (1ère éd. mars 2001), 384 pages.

Catégorie : Policier, Histoire, époque moderne.

4ème de couverture :
« 1761. Nicolas Le Floch quitte sa Bretagne natale pour se mettre au service de M. de Sartine, chef des affaires secrètes de Louis XV. Nicolas prend vite du galon. Le voilà plongé dans une ténébreuse affaire. Meurtres, vols, corruption : secondé par l’inspecteur Bourdeau, il dénouera peu à peu les fils de cette enquête, qui touche de près le roi et la Pompadour… » Françoise Presles, La Vie.

« Un nouveau Maigret est né : Nicolas Le Floch. […] Jean-François Paros, qui a conçu cette série de polars historiques, connaît admirablement le Paris du XVIIIème siècle ainsi que les procédures judiciaires de l’Ancien Régime. »
Evelyne Lever, Madame Figaro.

Ayant vu l’adaptation qu’en a fait France télévisions à la fin de l’été 2008, j’étais curieuse de lire les romans. L’achat et la lecture de ce premier opus fut fait à l’automne 2008. J’ai été très agréablement surprise par ce livre que j'ai lu au tout début de l'été 2009.
M. Lardin, commissaire de la police des jeux à Paris, disparaît. M. de Sardines va confier l’enquête à Nicolas Le Floch, confié à lui par le parrain du jeune homme : le marquis de Ranreuil. Secondé par l’inspecteur Bourdeau, le jeune homme va démêler et découvrir bien des secrets ainsi que les différents aspects de la vie parisienne dans le dernier quart du XVIIIème siècle.
Historienne de formation, j’ai énormément apprécié les détails ayant très à cette époque. L’auteur la connaît parfaitement et la fait revivre grâce à son écriture légère mais fortement détaillée.
Son personnage principal, Nicolas Le Floch, est admirablement décrit et très attachant. J’ai suivi avec plaisir sa manière de mener une enquête.
Celle-ci est passionnante, il n’y a aucun temps mort ; et, bien que les divers indices soient portés à la connaissance du lecteur en même temps qu’au personnage principal, il est difficile de connaître le fin mot de l’histoire avant que celui-ci ne soit révélé. Pour les amateurs de romans policiers et ceux aimant les fresques historiques, je conseille chaudement cette série (actuellement 7 volumes sont parus aux éditions 10/18).

vendredi 22 janvier 2010

Entretien avec un vampire

Oyez, oyez! Commençons donc cette nouvelle année par des chroniques du monde vampire d'Anne Rice.

Entretien avec un Vampire d’Anne Rice, édition Pocket, réédition de 1990.
Catégorie : fantastique, vampire, classique.

4ème de couverture :
De nos jours, à la Nouvelle-Orléans, un jeune homm a été convoqué dans l’obscurité d’une chambre d’hôtel pour écouter la plus étrange histoire qui soit. Tandis que tourne la magnétophone, son mystérieux interlocuteur raconte sa vie, sa vie de vampire. Ann Rice commence, il y a une quinzaine d’années, ce qu’elle croyait être « une courte nouvelle sur le thème du vampirisme ». Sa saga des vampires, poursuivie dans « Lestat le Vampire », « La reine des damnés » et « Le voleur de corps », est l’un des monuments de la littérature.

En mai dernier, après avoir lu les deux premiers tomes de la saga « Twilight » , j’ai décidé de me replonger dans l’univers vampirique d’Ann Rice. C’est avec un réel plaisir que je me suis attelée à la relecture du premier volume.

L’écriture est superbe, enivrante et nous plonge littéralement dans l’univers. Il n’y a aucun temps mort et la réflexion sur la mort et la non-mort y est toujours aussi intéressante. L’histoire est portée par Louis, vampire à l’âme profondément humaine mais dans une continuelle souffrance, alors que Lestat vit chaque instant sans prendre en compte les dommages collatéraux que cela peut engendrer. Contrairement à Louis, il accepte sa nature vampire, ce qui en fait un chasseur jouant avec ses proies, mêlant folie et sens pratique.
L’intrigue étant expliquée dans la 4ème de couverture, je n’en dévoile pas plus.

N’hésitez pas à découvrir ou redécouvrir ce roman, devenu au fil des années, un classique de la littérature fantastique.